Voyage intérieur

« Chaque aube devrait se terminer comme ça, simple, claire, ouverte, tendue comme un arc, pour se ruer à toute vitesse vers le dehors, battre comme un coeur s’emballant pour la première fois, le pouls dans l’artère, le galop du poulain échappé, un concentré d’adrénaline et d’énergie pure. » 

Maylis de Kerangal, Dans les rapides – ed. naïve 

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